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JORGE VIEGAS A ÉTÉ RÉÉLU PRÉSIDENT DE LA FIM

Jorge Viegas president FIM

Rédacteur et photo  : Patrick BERTINEAU

Source : FIM Communications fim-moto.com

APRÈS 4 ANS  À LA TÊTE DE LA PRÉSIDENCE DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DE MOTOCYCLISME, LE PORTUGAIS JORGE VIEGAS A OBTENU TOUTE LA CONFIANCE DES MEMBRES DU CONSEIL DE DIRECTION.

En ce début décembre 2022, l’assemblée générale annuelle de la FIM, qui s’est tenue à Rémini (Italie), a voté à l’unanimité la réélection du président sortant Jorge VIEGAS. Déjà en place depuis 2018, la confiance des membres n’a fait aucun doute sur sa réélection.

Successeur de Vito IPPOLITO, Jorge VIEGAS reste très satisfait de cette décision et montre sa fierté quant à la responsabilité de cet engagement. Il précise également qu’il est entouré d’une équipe très solide qui lui permet de réaliser les projets engagés : « c’est en quelque sorte une famille, déclare-t-il! »

C’est en 1992 que Jorge VIEGAS a entamé son implication au sein de la FIM en étant membre et président de la Commission de Promotion. Très rapidement, il a été élu vice-président de la FIM sur plusieurs mandats entre 1996 et 2014 sans oublié ses mandats de membre du conseil de Direction de la FIM.

Bien avant son engagement dans les responsabilités des instances motocyclismes, le président sortant avait participé à des compétitions de Moto-Cross dès 1974. Assez rapidement, la passion des courses sur piste a pris le dessus allant même jusqu’à différentes participations sur des épreuves de Grand-Prix 250cc mais aussi des départs aux 24H Motos du Mans.

Son ambition de créer lui vaut la fondation de la Fédération Portugaise à laquelle il a dirigé durant plusieurs années. A cela s’ajoute sa nomination de président du Circuit d’Estoril. Les projets ne manquent pas pour les années à venir en espérant qu’elles soient bien acceptées dans le milieu des pilotes et organisateurs sans prendre un virage vers celui des automobiles, tel la F1. Marc MARQUEZ #93 (Honda Repsol) s’est exprimé sur ce sujet lors d’un interview accordé auprès de Autosport :  » J’ai l’impression que la moto devient plus importante que le pilote » et d’ajouter « Le pilote est toujours plus important que la machine, c’est ce que je veux croire. »

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